Connect with us

Articles

Malte : essence de contrebande et intimidations

le

La police étudie la possibilité d’un lien entre le trafic d’essence de contrebande et l’incendie de la voiture d’une avocate.

L’avocate Graziella Attard avait contesté un accord concernant un règlement de différend de 2 millions d’euros avec une entreprise pétrolière italienne. La police enquêtant actuellement sur les lien entre des personnes liées au trafic de cet essence de contrebande ; l’attaque pourrait être lié à cette affaire. L’avocate ne s’est pas encore exprimée sur le sujet, mais l’incendie de sa voiture ressemble fortement à une mesure d’intimidation.

Essence de contrebande et entreprises écran

L’accord contesté par l’avocate implique également Gordon Debono, suspecté de trafic d’essence et actuellement emprisonné à Catane en Sicile. L’affaire concerne l’un des ancien propriétaire d’une entreprise de pêche, Agostino Padre, qui a légué ses parts à Graziella Attard en septembre 2015. Ses anciens partenaires sont Joseph Azzopardi, Paul Berrina et Albert Tabone ; ce dernier a été extradé depuis la République Dominicaine. En effet il doit également répondre des accusations de trafic d’essence de contrebande d’une valeur de 7,5 millions d’euros. Autant dire que cette affaire est très probablement liée à des intérêts mafieux. Par ailleurs, Graziella Attard est encore sous le coup d’une enquête pour trafic de drogue remontant à 2004.

Le plus intéressant est que ces personnes liées au trafic sont également connectés à diverses entreprises d’apparence honnête. Gordon Debono était lié à Petro-Plus Ltd, avant que son trafic avec la Lybie soit découvert, mais aussi à Eleven Eighty Eight Limited, KB petrols Srl, KB petrols Ltd, ainsi qu’à son propriétaire Claudia La Rosa.

Règlements de compte légaux entre mafieux ?

Selon les déclarations de Graziella Attard au tribunal, l’accord établi par Claudio La Rosa en octobre 2015 aurait été accepté « suite à de nombreuses pressions, violences et fraudes ». Cet accord aurait permis à La Rosa de prendre contrôle de l’entreprise KB petrols de Malte et de ses filiales italiennes. Pour brouiller les piste l’entreprise est préalablement passé en possession de Khaled Barakat, un citoyen égyptien. L’affaire repose essentiellement sur des avis à tiers détenteurs. Un accord de 1,28 millions d’euros avec Graziella Attard était sensé annuler ces avis.

L’avocate soutient qu’au moment de cette entente elle ne pouvait donner son accord librement et demande donc son annulation. De son côté Khaled Barakat porte également plainte contre Graziella Attard et plusieurs entreprises lui appartenant. Il lui reproche des accords non-respectés et un impayé d’1,3 millions de dollars. Il semble actuellement difficile de savoir qui a raison entre les divers accusateurs. Ce qui est certains c’est que les différentes affaires et montages financiers sont le fait de personnes suspectées de trafic d’hydrocarbures.

Lire la suite

Articles

Armes états-uniennes chez les pays des Caraïbes

le

pays des Caraïbes

Les pays des Caraïbes cherchent à réduire les taux de meurtre grâce à une coopération renforcée avec les États-Unis

Les pays des Caraïbes sont confrontés à une augmentation de la violence armée, qui est alimentée en grande partie par le trafic d’armes à feu en provenance des États-Unis. Ces gouvernements locaux ont donc décidé de renforcer leur coopération avec les autorités américaines pour lutter contre ce fléau et réduire les taux de meurtre dans la région.

Des mesures visant à renforcer la coopération régionale

Les gouvernements locaux ont pris des mesures pour renforcer leur coopération avec les États-Unis et d’autres pays voisins afin de lutter contre le trafic d’armes à feu. Ils ont également investi dans des initiatives pour surveiller les points d’entrée des armes à feu dans la région. Cette coopération renforcée est considérée comme essentielle pour réduire les taux de meurtre dans la région.

Les efforts des gouvernements locaux pour réduire la violence armée ont porté leurs fruits. Les taux de meurtre ont diminué dans certains pays de la région, grâce à une coopération renforcée avec les États-Unis et à des initiatives pour promouvoir la sécurité publique. Ces gouvernements locaux continuent de travailler pour réduire encore plus les taux de meurtre et améliorer la sécurité de la région.

Des progrès notables dans la lutte contre la violence armée

Les pays des Caraïbes ont pris des mesures pour lutter contre le trafic d’armes à feu en provenance des États-Unis et réduire les taux de meurtre dans la région. Les progrès notables réalisés montrent que la coopération régionale et les initiatives de sécurité publique peuvent faire une différence dans la lutte contre la violence armée.

Malgré ces progrès, le trafic d’armes à feu reste un défi majeur pour la région des Caraïbes. Les gangs continuent de se procurer des armes à feu illégalement, ce qui alimente la violence et les homicides dans la région. Les gouvernements locaux sont conscients que la lutte contre le trafic d’armes à feu est un processus continu et doivent continuer à travailler avec les autorités américaines et les organisations internationales pour empêcher la circulation illégale des armes à feu. En travaillant ensemble, les pays des Caraïbes peuvent espérer réduire encore plus le nombre de meurtres et améliorer la sécurité de la région.

Lire la suite

Articles

Canada : le danger des « Ghost Guns »

le

Ghost Guns

La police de Winnipeg mène une enquête sur les « Ghost Guns » et a lancé des enauêtes pour retrouver les coupables

La police de Winnipeg mène actuellement une enquête sur les armes à feu fabriquées artisanalement, également connues sous le nom de « Ghost Guns » . Des poursuites ont déjà été lancé contre un suspect. Cette annonce intervient après une augmentation préoccupante de l’utilisation de ces armes illégales dans la ville.

Un pas important vers la résolution du problème

Les « Ghost Guns » sont des armes à feu qui sont fabriquées artisanalement en utilisant des pièces pouvant être achetées en ligne. Ces armes ne sont pas enregistrées et ne peuvent pas être tracées, ce qui les rend très attractives pour les criminels. Selon la police de Winnipeg, l’enquête a débuté en octobre dernier après la saisie d’un « Ghost Gun » dans le cadre d’une perquisition. Après une enquête approfondie, les enquêteurs ont déposé des accusations criminelles contre un homme de 26 ans pour possession d’une arme à feu non enregistrée et possession d’une arme à feu prohibée.

Le chef de la police de Winnipeg, Danny Smyth, a déclaré que cette enquête était un exemple de l’engagement de la police à lutter contre les armes à feu illégales dans la ville. « Nous savons que ces armes sont utilisées dans des crimes violents à Winnipeg, et nous sommes déterminés à les retirer de la rue », a-t-il déclaré.

Réduire l’utilisation des « Ghost Guns »

La police de Winnipeg a également travaillé en étroite collaboration avec d’autres forces de l’ordre à travers le pays pour lutter contre l’utilisation des « Ghost Guns ». En novembre dernier, la police de Toronto a mené une opération majeure contre les armes à feu illégales, au cours de laquelle plus de 80 « Ghost Guns » ont été saisis. Le gouvernement fédéral a également pris des mesures pour lutter contre l’utilisation de ces armes. En décembre dernier, le ministre de la Sécurité publique, Bill Blair, a annoncé un projet de loi visant à renforcer la réglementation des armes à feu et à interdire la vente de pièces détachées d’armes à feu.

L’enquête en cours de la police de Winnipeg sur les « Ghost Guns » montre l’engagement des forces de l’ordre à lutter contre l’utilisation de ces armes illégales dans la ville. En travaillant en étroite collaboration avec d’autres forces de l’ordre à travers le pays et en soutenant les efforts du gouvernement fédéral pour renforcer la réglementation des armes à feu, la police de Winnipeg espère réduire le nombre de crimes violents liés aux armes à feu dans la ville.

Lire la suite

Articles

Les procureurs du Manitoba et la lutte contre les armes

le

lutte contre les armes

Les procureurs du Manitoba intensifient leur lutte contre les armes illégales en lien avec le crime organisé dans la province canadienne

Insécurité au Manitoba

Les procureurs du Manitoba ont récemment annoncé une initiative visant à intensifier leur lutte contre les armes à feu illégales en lien avec le crime organisé. Cette annonce intervient après une augmentation préoccupante des crimes liés aux armes à feu dans la province. Selon la Gendarmerie royale du Canada (GRC), le nombre d’infractions liées aux armes à feu au Manitoba a augmenté de 16 % en 2020, par rapport à l’année précédente. Environ 70 % de ces infractions étaient liées à des armes à feu illégales, souvent en lien avec le crime organisé.

Face à cette situation, les procureurs du Manitoba ont décidé de renforcer leur collaboration avec les forces de l’ordre pour enquêter sur les réseaux de trafic d’armes et poursuivre les criminels qui s’en servent. Ils ont également annoncé leur intention d’utiliser toutes les ressources juridiques à leur disposition pour punir les contrevenants. Le procureur en chef du Manitoba, Cliff Cullen, a déclaré que cette initiative était nécessaire pour protéger les communautés locales contre la violence armée. «Les armes à feu illégales ont un impact dévastateur sur la sécurité des Manitobains», a-t-il déclaré. «Nous avons l’obligation de poursuivre les criminels qui les utilisent et de les tenir responsables de leurs actes.

Lutte contre les armes

Cette initiative fait partie d’un effort plus large du gouvernement du Manitoba pour lutter contre la violence armée. En novembre dernier, le gouvernement a annoncé un investissement de 10 millions de dollars pour améliorer la sécurité publique et aider les communautés à prévenir la violence.

Le ministre de la Justice, Cameron Friesen, a déclaré que cet investissement aiderait à renforcer les capacités des forces de l’ordre pour lutter contre la violence armée et soutenir les initiatives communautaires de prévention. “Nous ne tolérons pas la violence armée dans notre province”, a-t-il déclaré. “Nous prenons des mesures concrètes pour protéger nos communautés et nous continuerons de travailler avec nos partenaires pour trouver des solutions durables à ce problème.”

En conclusion, cette initiative des procureurs du Manitoba montre l’engagement des autorités locales à lutter contre la violence armée dans la province. En renforçant leur collaboration avec les forces de l’ordre et en utilisant toutes les ressources juridiques à leur disposition, les procureurs espèrent réduire le nombre de crimes liés aux armes à feu et protéger les communautés locales contre cette menace croissante.

Lire la suite

Trending