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États-Unis : quand la meilleure amie de Superman recrute des esclaves sexuelles

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Par
Illicit Trade
Allison Mack, star de la série « Smallville », a été arrêtée vendredi en vue d’une inculpation pour participation à un trafic de plusieurs esclaves sexuelles, l’actrice dément toute implication
L’affaire concernait la secte Nxivm (se lit « Nexium ») et a fait irruption sur la scène médiatique. Proche de la secte, l’actrice est soupçonnée d’avoir eu un rôle important dans le recrutement des esclaves sexuelles. La police américaine l’a entendue. La star est passée devant la cour fédérale de New York vendredi dernier. Elle encourt au moins une quinzaine d’années de prison en cas de de condamnation. Une affaire non sans ironie pour celle qui joue la meilleure amie de Superman. Elle a cependant plaidé non coupable.
Des membres de la secte réduites en esclaves sexuelles
Keith Raniere, gourou de la secte Nxivm est poursuivi depuis fin mars pour trafic sexuel. Les accusations portent également sur une association de malfaiteurs et des menaces. Le gourou aurait profité de son influence pour transformer ses adeptes en esclaves sexuelles. Il aurait également marqué ses victimes au fer rouge de ses initiales. C’est un groupe d’une vingtaine de femmes avec qui l’accusé aurait eu des relations sexuelles. C’est à Albany, dans l’État de New York qu’est basée la secte. Mais il y a plusieurs centres aux États-Unis, au Canada et en Amérique centrale.
L’organisation existe depuis 1998. À l’origine il s’agissait de l’ « Exécutive Success Program » (ESP). Cette association devait organiser des ateliers de développement personnel. Le but officiel était la réalisation du « potentiel humain » des participants. L’entité Nxivm a été créée en 2003 afin de de contrôler l’ESP. Les ateliers pouvaient coûter jusqu’à 5000 dollars. Il n’est pas rare que les adeptes s’endettent et doivent travailler pour la secte. Une organisation parallèle, DOS, a été créée en 2015. Composée exclusivement de femmes, elle était chapeautée par le gourou présumé en personne.
Allison Mack au sommet du trafic
D’après les enquêteurs, l’actrice n’aurait pas eu qu’un rôle passif dans la secte. Frank Parlato, ancien attaché de presse du groupe témoigne. Pour lui elle jouait un rôle très important dans la secte. Faisant partie des esclaves sexuelles, elle serait devenue « maîtresse ». Les anciens membres interrogés la surnommaient « Pimp Mack ». « Pimp » signifiant maquereau. C’est elle qui aurait eu l’idée de marquer les victimes d’après les enquêteurs. Aujourd’hui elle fait toujours partie du groupe.
Pour entrer dans le groupe, la direction demandait des garanties aux femmes. Photos, lettres ou documents compromettants, l’organisation pouvait les rendre publics à tout moment. Ce sont les esclaves sexuelles elles-mêmes qui aidaient à marquer les nouvelles victimes. Allison Mack aurait également mis en place un des programme « d’entraide » permettant de recruter de nouvelles femmes. Le procureur de New York l’accuse d’avoir été le numéro 2 de l’organisation, juste en dessous de Raniere.
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Les pays des Caraïbes cherchent à réduire les taux de meurtre grâce à une coopération renforcée avec les États-Unis
Les pays des Caraïbes sont confrontés à une augmentation de la violence armée, qui est alimentée en grande partie par le trafic d’armes à feu en provenance des États-Unis. Ces gouvernements locaux ont donc décidé de renforcer leur coopération avec les autorités américaines pour lutter contre ce fléau et réduire les taux de meurtre dans la région.
Des mesures visant à renforcer la coopération régionale
Les gouvernements locaux ont pris des mesures pour renforcer leur coopération avec les États-Unis et d’autres pays voisins afin de lutter contre le trafic d’armes à feu. Ils ont également investi dans des initiatives pour surveiller les points d’entrée des armes à feu dans la région. Cette coopération renforcée est considérée comme essentielle pour réduire les taux de meurtre dans la région.
Les efforts des gouvernements locaux pour réduire la violence armée ont porté leurs fruits. Les taux de meurtre ont diminué dans certains pays de la région, grâce à une coopération renforcée avec les États-Unis et à des initiatives pour promouvoir la sécurité publique. Ces gouvernements locaux continuent de travailler pour réduire encore plus les taux de meurtre et améliorer la sécurité de la région.
Des progrès notables dans la lutte contre la violence armée
Les pays des Caraïbes ont pris des mesures pour lutter contre le trafic d’armes à feu en provenance des États-Unis et réduire les taux de meurtre dans la région. Les progrès notables réalisés montrent que la coopération régionale et les initiatives de sécurité publique peuvent faire une différence dans la lutte contre la violence armée.
Malgré ces progrès, le trafic d’armes à feu reste un défi majeur pour la région des Caraïbes. Les gangs continuent de se procurer des armes à feu illégalement, ce qui alimente la violence et les homicides dans la région. Les gouvernements locaux sont conscients que la lutte contre le trafic d’armes à feu est un processus continu et doivent continuer à travailler avec les autorités américaines et les organisations internationales pour empêcher la circulation illégale des armes à feu. En travaillant ensemble, les pays des Caraïbes peuvent espérer réduire encore plus le nombre de meurtres et améliorer la sécurité de la région.

La police de Winnipeg mène une enquête sur les « Ghost Guns » et a lancé des enauêtes pour retrouver les coupables
La police de Winnipeg mène actuellement une enquête sur les armes à feu fabriquées artisanalement, également connues sous le nom de « Ghost Guns » . Des poursuites ont déjà été lancé contre un suspect. Cette annonce intervient après une augmentation préoccupante de l’utilisation de ces armes illégales dans la ville.
Un pas important vers la résolution du problème
Les « Ghost Guns » sont des armes à feu qui sont fabriquées artisanalement en utilisant des pièces pouvant être achetées en ligne. Ces armes ne sont pas enregistrées et ne peuvent pas être tracées, ce qui les rend très attractives pour les criminels. Selon la police de Winnipeg, l’enquête a débuté en octobre dernier après la saisie d’un « Ghost Gun » dans le cadre d’une perquisition. Après une enquête approfondie, les enquêteurs ont déposé des accusations criminelles contre un homme de 26 ans pour possession d’une arme à feu non enregistrée et possession d’une arme à feu prohibée.
Le chef de la police de Winnipeg, Danny Smyth, a déclaré que cette enquête était un exemple de l’engagement de la police à lutter contre les armes à feu illégales dans la ville. « Nous savons que ces armes sont utilisées dans des crimes violents à Winnipeg, et nous sommes déterminés à les retirer de la rue », a-t-il déclaré.
Réduire l’utilisation des « Ghost Guns »
La police de Winnipeg a également travaillé en étroite collaboration avec d’autres forces de l’ordre à travers le pays pour lutter contre l’utilisation des « Ghost Guns ». En novembre dernier, la police de Toronto a mené une opération majeure contre les armes à feu illégales, au cours de laquelle plus de 80 « Ghost Guns » ont été saisis. Le gouvernement fédéral a également pris des mesures pour lutter contre l’utilisation de ces armes. En décembre dernier, le ministre de la Sécurité publique, Bill Blair, a annoncé un projet de loi visant à renforcer la réglementation des armes à feu et à interdire la vente de pièces détachées d’armes à feu.
L’enquête en cours de la police de Winnipeg sur les « Ghost Guns » montre l’engagement des forces de l’ordre à lutter contre l’utilisation de ces armes illégales dans la ville. En travaillant en étroite collaboration avec d’autres forces de l’ordre à travers le pays et en soutenant les efforts du gouvernement fédéral pour renforcer la réglementation des armes à feu, la police de Winnipeg espère réduire le nombre de crimes violents liés aux armes à feu dans la ville.
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Les procureurs du Manitoba et la lutte contre les armes

le
4 mars 2023
Les procureurs du Manitoba intensifient leur lutte contre les armes illégales en lien avec le crime organisé dans la province canadienne
Insécurité au Manitoba
Les procureurs du Manitoba ont récemment annoncé une initiative visant à intensifier leur lutte contre les armes à feu illégales en lien avec le crime organisé. Cette annonce intervient après une augmentation préoccupante des crimes liés aux armes à feu dans la province. Selon la Gendarmerie royale du Canada (GRC), le nombre d’infractions liées aux armes à feu au Manitoba a augmenté de 16 % en 2020, par rapport à l’année précédente. Environ 70 % de ces infractions étaient liées à des armes à feu illégales, souvent en lien avec le crime organisé.
Face à cette situation, les procureurs du Manitoba ont décidé de renforcer leur collaboration avec les forces de l’ordre pour enquêter sur les réseaux de trafic d’armes et poursuivre les criminels qui s’en servent. Ils ont également annoncé leur intention d’utiliser toutes les ressources juridiques à leur disposition pour punir les contrevenants. Le procureur en chef du Manitoba, Cliff Cullen, a déclaré que cette initiative était nécessaire pour protéger les communautés locales contre la violence armée. «Les armes à feu illégales ont un impact dévastateur sur la sécurité des Manitobains», a-t-il déclaré. «Nous avons l’obligation de poursuivre les criminels qui les utilisent et de les tenir responsables de leurs actes.
Lutte contre les armes
Cette initiative fait partie d’un effort plus large du gouvernement du Manitoba pour lutter contre la violence armée. En novembre dernier, le gouvernement a annoncé un investissement de 10 millions de dollars pour améliorer la sécurité publique et aider les communautés à prévenir la violence.
Le ministre de la Justice, Cameron Friesen, a déclaré que cet investissement aiderait à renforcer les capacités des forces de l’ordre pour lutter contre la violence armée et soutenir les initiatives communautaires de prévention. “Nous ne tolérons pas la violence armée dans notre province”, a-t-il déclaré. “Nous prenons des mesures concrètes pour protéger nos communautés et nous continuerons de travailler avec nos partenaires pour trouver des solutions durables à ce problème.”
En conclusion, cette initiative des procureurs du Manitoba montre l’engagement des autorités locales à lutter contre la violence armée dans la province. En renforçant leur collaboration avec les forces de l’ordre et en utilisant toutes les ressources juridiques à leur disposition, les procureurs espèrent réduire le nombre de crimes liés aux armes à feu et protéger les communautés locales contre cette menace croissante.
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