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Macao : Le Centre du Bon Pasteur dénonce l’inaction du gouvernement

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Illicit Trade
Le Centre du Bon Pasteur de Macao demande la création d’un centre d’accueil international pour les soins aux victimes du trafic d’êtres humains
Sœur Juliana Devoy est la missionnaire directrice du Centre du Bon Pasteur. Cette demande de création d’un centre d’accueil remonte à mercredi dernier. Le but serait de pouvoir y soigner les victimes du trafic d’êtres humains sur une durée allant de deux à trois mois. Le Centre du Bon Pasteur ne suffit pas à aider toute celles et ceux qui en ont besoin. La demande a été effectuée en bonne et due forme au gouvernement. Cette demande a été suivie d’une conférence de presse de sœur Devoy. Cependant cette conférence de presse a été l’occasion d’un certain nombre de critiques.
Un problème récemment pris en compte par le gouvernement
« Nous demandons au gouvernement de mettre en place une sorte de communauté internationale (…) pour avoir un programme aidant les personnes à prendre conscience de ce qu’il s’est passé et comment elles peuvent envisager leur futur ». Depuis la création du Centre du Bon Pasteur 62 femmes victimes du trafic ont été accueillies. Le début de l’activité du centre remonte à 2008 ; après le passage d’une loi contre ce trafic à Macao. Sœur Devoy a également déclaré que leur organisation essayait de se mettre en contact avec des organisations du centre de la Chine ou avec des prêtres. Le but serait de travailler à une meilleure coopération pour stopper le trafic.
La directrice du centre a aussi déclaré que ce problème provient en grande partie de la définition vague du gouvernement concernant le trafic d’êtres humains. Selon elle la plupart des cas concernent des jeunes filles mineures de familles pauvres du centre du pays. Ces déclarations vont dans le sens du rapport annuel des États-Unis sur le trafic d’êtres humains. Selon ce rapport ; « [le gouvernement] ne fait encore pas le minimum d’effort nécessaire pour lutter contre le trafic ».
Le Centre du Bon Pasteur pointe des dysfonctionnements
Sœur Devoy est cependant plus critique que le rapport. Selon elle le gouvernement de Macao ne fait presque rien du tout et les États-Unis ne comprennent pas la culture locale. Lors de la conférence de presse le Bureau des affaire sociales a pointé le fait que le nombre de victimes du trafic était en baisse constante depuis cinq ans. Cependant, Devoy a rétorquée qu’à cause du manque de protections légales contre des représailles de nombreuses personnes ne rapportent tout simplement pas les cas de trafic. Ces personnes évitent même de dénoncer les mauvaises conditions de travail.
Le Centre du Bon Pasteur a aussi annoncé son partenariat avec MGM Macao ; le but est d’informer le public sur le problème. Au Bureau des Affaires Sociales des campagnes de ce genre ont déjà été menées ; y compris avec le Centre du Bon Pasteur. Des partenariats avec l’Association Générale des Femmes de Macao et l’Organisation Internationale de l’Immigration sont aussi en place. Malgré tout le problème principale semble être que les gens ont peur de dénoncer ces crimes. Tant que des mesures ne seront pas en place pour les rassurer et les protéger peu de chance de changement.

Les pays des Caraïbes cherchent à réduire les taux de meurtre grâce à une coopération renforcée avec les États-Unis
Les pays des Caraïbes sont confrontés à une augmentation de la violence armée, qui est alimentée en grande partie par le trafic d’armes à feu en provenance des États-Unis. Ces gouvernements locaux ont donc décidé de renforcer leur coopération avec les autorités américaines pour lutter contre ce fléau et réduire les taux de meurtre dans la région.
Des mesures visant à renforcer la coopération régionale
Les gouvernements locaux ont pris des mesures pour renforcer leur coopération avec les États-Unis et d’autres pays voisins afin de lutter contre le trafic d’armes à feu. Ils ont également investi dans des initiatives pour surveiller les points d’entrée des armes à feu dans la région. Cette coopération renforcée est considérée comme essentielle pour réduire les taux de meurtre dans la région.
Les efforts des gouvernements locaux pour réduire la violence armée ont porté leurs fruits. Les taux de meurtre ont diminué dans certains pays de la région, grâce à une coopération renforcée avec les États-Unis et à des initiatives pour promouvoir la sécurité publique. Ces gouvernements locaux continuent de travailler pour réduire encore plus les taux de meurtre et améliorer la sécurité de la région.
Des progrès notables dans la lutte contre la violence armée
Les pays des Caraïbes ont pris des mesures pour lutter contre le trafic d’armes à feu en provenance des États-Unis et réduire les taux de meurtre dans la région. Les progrès notables réalisés montrent que la coopération régionale et les initiatives de sécurité publique peuvent faire une différence dans la lutte contre la violence armée.
Malgré ces progrès, le trafic d’armes à feu reste un défi majeur pour la région des Caraïbes. Les gangs continuent de se procurer des armes à feu illégalement, ce qui alimente la violence et les homicides dans la région. Les gouvernements locaux sont conscients que la lutte contre le trafic d’armes à feu est un processus continu et doivent continuer à travailler avec les autorités américaines et les organisations internationales pour empêcher la circulation illégale des armes à feu. En travaillant ensemble, les pays des Caraïbes peuvent espérer réduire encore plus le nombre de meurtres et améliorer la sécurité de la région.

La police de Winnipeg mène une enquête sur les « Ghost Guns » et a lancé des enauêtes pour retrouver les coupables
La police de Winnipeg mène actuellement une enquête sur les armes à feu fabriquées artisanalement, également connues sous le nom de « Ghost Guns » . Des poursuites ont déjà été lancé contre un suspect. Cette annonce intervient après une augmentation préoccupante de l’utilisation de ces armes illégales dans la ville.
Un pas important vers la résolution du problème
Les « Ghost Guns » sont des armes à feu qui sont fabriquées artisanalement en utilisant des pièces pouvant être achetées en ligne. Ces armes ne sont pas enregistrées et ne peuvent pas être tracées, ce qui les rend très attractives pour les criminels. Selon la police de Winnipeg, l’enquête a débuté en octobre dernier après la saisie d’un « Ghost Gun » dans le cadre d’une perquisition. Après une enquête approfondie, les enquêteurs ont déposé des accusations criminelles contre un homme de 26 ans pour possession d’une arme à feu non enregistrée et possession d’une arme à feu prohibée.
Le chef de la police de Winnipeg, Danny Smyth, a déclaré que cette enquête était un exemple de l’engagement de la police à lutter contre les armes à feu illégales dans la ville. « Nous savons que ces armes sont utilisées dans des crimes violents à Winnipeg, et nous sommes déterminés à les retirer de la rue », a-t-il déclaré.
Réduire l’utilisation des « Ghost Guns »
La police de Winnipeg a également travaillé en étroite collaboration avec d’autres forces de l’ordre à travers le pays pour lutter contre l’utilisation des « Ghost Guns ». En novembre dernier, la police de Toronto a mené une opération majeure contre les armes à feu illégales, au cours de laquelle plus de 80 « Ghost Guns » ont été saisis. Le gouvernement fédéral a également pris des mesures pour lutter contre l’utilisation de ces armes. En décembre dernier, le ministre de la Sécurité publique, Bill Blair, a annoncé un projet de loi visant à renforcer la réglementation des armes à feu et à interdire la vente de pièces détachées d’armes à feu.
L’enquête en cours de la police de Winnipeg sur les « Ghost Guns » montre l’engagement des forces de l’ordre à lutter contre l’utilisation de ces armes illégales dans la ville. En travaillant en étroite collaboration avec d’autres forces de l’ordre à travers le pays et en soutenant les efforts du gouvernement fédéral pour renforcer la réglementation des armes à feu, la police de Winnipeg espère réduire le nombre de crimes violents liés aux armes à feu dans la ville.
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Les procureurs du Manitoba et la lutte contre les armes

le
4 mars 2023
Les procureurs du Manitoba intensifient leur lutte contre les armes illégales en lien avec le crime organisé dans la province canadienne
Insécurité au Manitoba
Les procureurs du Manitoba ont récemment annoncé une initiative visant à intensifier leur lutte contre les armes à feu illégales en lien avec le crime organisé. Cette annonce intervient après une augmentation préoccupante des crimes liés aux armes à feu dans la province. Selon la Gendarmerie royale du Canada (GRC), le nombre d’infractions liées aux armes à feu au Manitoba a augmenté de 16 % en 2020, par rapport à l’année précédente. Environ 70 % de ces infractions étaient liées à des armes à feu illégales, souvent en lien avec le crime organisé.
Face à cette situation, les procureurs du Manitoba ont décidé de renforcer leur collaboration avec les forces de l’ordre pour enquêter sur les réseaux de trafic d’armes et poursuivre les criminels qui s’en servent. Ils ont également annoncé leur intention d’utiliser toutes les ressources juridiques à leur disposition pour punir les contrevenants. Le procureur en chef du Manitoba, Cliff Cullen, a déclaré que cette initiative était nécessaire pour protéger les communautés locales contre la violence armée. «Les armes à feu illégales ont un impact dévastateur sur la sécurité des Manitobains», a-t-il déclaré. «Nous avons l’obligation de poursuivre les criminels qui les utilisent et de les tenir responsables de leurs actes.
Lutte contre les armes
Cette initiative fait partie d’un effort plus large du gouvernement du Manitoba pour lutter contre la violence armée. En novembre dernier, le gouvernement a annoncé un investissement de 10 millions de dollars pour améliorer la sécurité publique et aider les communautés à prévenir la violence.
Le ministre de la Justice, Cameron Friesen, a déclaré que cet investissement aiderait à renforcer les capacités des forces de l’ordre pour lutter contre la violence armée et soutenir les initiatives communautaires de prévention. “Nous ne tolérons pas la violence armée dans notre province”, a-t-il déclaré. “Nous prenons des mesures concrètes pour protéger nos communautés et nous continuerons de travailler avec nos partenaires pour trouver des solutions durables à ce problème.”
En conclusion, cette initiative des procureurs du Manitoba montre l’engagement des autorités locales à lutter contre la violence armée dans la province. En renforçant leur collaboration avec les forces de l’ordre et en utilisant toutes les ressources juridiques à leur disposition, les procureurs espèrent réduire le nombre de crimes liés aux armes à feu et protéger les communautés locales contre cette menace croissante.
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