Connect with us

Articles

Un groupe d’action financier contre le trafic d’animaux sauvages

le

Le Royaume-Uni a décidé le lancement d’un groupe d’action financier contre le trafic d’animaux sauvage et les réseaux criminels

Le trafic d’animaux sauvage est un enjeu d’importance qui menace la survie de nombreuses espèces à travers le monde. De nombreux criminels s’enrichissent par ce triste commerce. Les gouvernements et les écologistes sont en constante élaboration de solutions pour lutter contre ce trafic illégal. Leur dernière idée est la création de ce groupe d’action financier britannique. Le but est de frapper les criminels là où cela les blessera le plus ; leur portefeuille.

Un groupe d’action financier international

Le lancement du groupe d’action financier a été annoncé juste à temps pour la conférence international sur le trafic illégal d’animaux sauvages de Londres. Ce groupe sera soutenu par le gouvernement britannique et dirigé par « Unis pour les animaux sauvages » une œuvre de bienfaisance de la Fondation Royale. Ce jour est donc marqué à la fois par le lancement du groupe d’action financier et par la signature de la Déclaration du Manoir. Le Duc de Cambridge a présenté le groupe d’action financier et a expliqué l’importance cruciale pour le secteur financier de travailler collectivement afin de mettre fin au trafic illégal d’animaux sauvages.

Selon le communiqué du gouvernement ce sera le plus important projet au monde destiné à s’en prendre aux crimes financiers associé au trafic d’animaux sauvages. On estime ce trafic à plusieurs milliards de dollars par an. Non seulement les trafiquants poussent des espèces à la limite de l’extinction mais ils sont aussi impliqués dans d’autres crimes ; trafic de drogues, armes, trafic d’êtres humains.

Des méthodes de lutte éprouvées

Le responsable de Développement International, Penny Mordaunt, s’est aussi exprimé à ce sujet ; « Le royaume Uni est directement impliqué dans les efforts dédiés à la récupération de capitaux illicites, dans la lutte contre les réseaux du crime organisé et pour stopper les flux d’argent sale afin de protéger les espèces en danger et trafiquées et pour présenter les responsables devant la justice ». Ce groupe d’action financier sera constitué de représentants des instituons financières mondiales. On trouvera également à leurs côtés les agences et les organismes de contrôles comme TRAFFIC. Lors du lancement, des représentants de 30 banques mondiales et groupes financiers étaient présents, notamment ; Chartered, JP Morgan, HSBC, Western Union, CitiGroup et Bank of America. Tous ont signé l’accord et promis de faciliter la lutte contre les flux financiers illégaux.

La déclaration se concentre sur six engagements ; notamment sensibiliser l’industrie financière sur les façons de lutter contre le trafic. Le but est aussi de fournir des formations sur la façon d’identifier des activités suspectes. Cependant il s’agira aussi de fournir des preuves aux forces de l’ordre et organismes de contrôle. Le contrôle de ces flux financiers devraient permettre de dresser un panorama des réseaux criminels. Selon David Fein de « Unis pour les animaux sauvages » ; « nous voulons engager le combat avec les trafiquants en utilisant les outils et l’expérience du secteur financier déjà utilisés pour lutter contre d’autres crimes comme le trafic d’êtres humains et le financement du terrorisme ».

Lire la suite

Articles

Trafic d’or de l’ambassadeur zimbabwéen en Chine

le

ambassadeur zimbabwéen

l’ambassadeur zimbabwéen en Chine accusé d’avoir participé à un réseau de trafiquants d’or dans le pays

Le trafic d’or est l’un des crimes transfrontaliers les plus lucratifs dans le monde, avec des réseaux complexes qui opèrent dans plusieurs pays. Les autorités zimbabwéennes ont récemment mis fin à l’un de ces réseaux de contrebande d’or en arrêtant leur ambassadeur en Chine. Les autorités chinoises ont également saisi plus de 500 kilogrammes d’or illégalement importé en Chine par le biais de ce réseau. Cet événement souligne une fois de plus l’ampleur et la complexité de la contrebande d’or dans le monde.

L’arrestation de l’ambassadeur zimbabwéen en Chine

Selon les autorités chinoises, le diplomate zimbabwéen, nommé Tawanda Mutasah, a utilisé son statut d’ambassadeur pour faciliter la contrebande d’or en Chine. Les enquêteurs ont découvert que Mutasah et ses associés avaient transporté plus de 500 kilogrammes d’or en Chine depuis le Zimbabwe entre 2018 et 2022. L’or a été revendu sur le marché noir chinois, où les prix sont plus élevés qu’au Zimbabwe.

La contrebande d’or est un problème mondial qui affecte les économies nationales et les communautés locales. Les pays africains sont souvent des cibles pour les trafiquants d’or en raison de la présence de gisements d’or riches et de gouvernements faibles. Les trafiquants utilisent souvent des documents de voyage falsifiés et des méthodes de transport sophistiquées pour faire passer l’or illégalement à travers les frontières.

La lutte contre la contrebande d’or

Les autorités chinoises ont été félicitées pour leur travail dans la lutte contre la contrebande d’or. En 2022, la police chinoise a arrêté 179 personnes soupçonnées d’être impliquées dans le trafic d’or, saisi plus de 3 tonnes d’or illégal et saisi plus de 100 millions de yuans (15 millions de dollars) en espèces.

L’arrestation de l’ambassadeur zimbabwéen en Chine a mis en évidence l’ampleur du problème de la contrebande d’or dans le monde. Les réseaux de contrebande d’or sont complexes et difficiles à démanteler, mais les autorités continuent de travailler dur pour lutter contre ce crime transfrontalier. La coopération internationale et les efforts conjoints de tous les pays concernés sont essentiels pour mettre fin à la contrebande d’or et protéger les économies nationales et les communautés locales.

Lire la suite

Articles

États-Unis : 400 kg de fentanyl saisie en une opération

le

400 kg de fentanyl

Les autorités fédérales ont récemment saisi plus de 400 kg de fentanyl lors d’une opération anti-contrebande menée aux États-Unis.

Cette opération, qui a duré plusieurs mois, a été menée en collaboration avec les forces de l’ordre de plusieurs pays. Cette saisie de fentanyl est l’une des plus importantes de l’histoire et souligne l’ampleur du problème de la contrebande de drogues.

Une opération de grande envergure

Selon les autorités, cette opération de grande envergure a permis de saisir plus de 900 livres de fentanyl, d’une valeur estimée à plusieurs millions de dollars. Cette drogue était destinée au marché américain, où le fentanyl est responsable d’un grand nombre de décès liés aux overdoses chaque année. Les autorités ont également saisi des armes à feu, des véhicules et des biens immobiliers lors de cette opération.

Le fentanyl est un opioïde synthétique extrêmement puissant qui est 50 à 100 fois plus puissant que la morphine. Il est souvent mélangé à d’autres drogues pour augmenter leur effet, mais cela peut également augmenter considérablement le risque de décès par overdose. Cette saisie de fentanyl est une réponse aux problèmes de santé publique liés à la contrebande de drogues illicites, qui ont un impact important sur les communautés à travers les États-Unis.

Une réponse aux problèmes de santé publique

Selon le procureur général adjoint en charge de la lutte contre la drogue, «cette opération montre que les autorités sont déterminées à poursuivre les trafiquants de drogue qui mettent en danger la vie de millions de personnes aux États-Unis chaque année». Les autorités travaillent également à renforcer les lois contre la contrebande de drogues illicites et à sensibiliser le public aux dangers de ces drogues.

La saisie de plus de 400 kg de fentanyl lors de cette opération anti-contrebande est un exemple de la détermination des autorités à lutter contre le trafic de drogue et les problèmes de santé publique qui en découlent. Cette opération est une réponse importante aux défis posés par la contrebande et souligne l’importance de la collaboration entre les forces de l’ordre de différents pays pour mettre fin à ce fléau.

Lire la suite

Articles

Canada: Des sacs de drogue sur les pigeons

le

sacs de drogue

Utilisation de sacs de drogue sur les pigeons dans les prisons de Colombie-Britannique, au Canada

Les autorités pénitentiaires de la Colombie-Britannique ont récemment signalé une nouvelle tentative d’introduction de drogue dans la prison de Matsqui, cette fois à l’aide d’un pigeon. Selon la porte-parole du Service correctionnel du Canada, Liliana Vargas, «les trafiquants de drogue utilisent toutes les méthodes possibles pour faire entrer de la drogue en prison, y compris l’utilisation d’animaux».

Deuxième tentative d’utilisation de pigeons

Les pigeons entraînés à transporter des sacs de drogue constituent une nouvelle méthode. Cette deuxième tentative souligne les défis auxquels sont confrontées les autorités pénitentiaires pour empêcher le trafic de drogue dans les établissements pénitentiaires.

Les autorités ont souligné que la première tentative d’utilisation de pigeons pour introduire de la drogue dans la prison de Matsqui avait eu lieu en 2019 et avait été découverte grâce à la vigilance du personnel. Les pigeons avaient été entraînés à transporter des sacs de drogue dans la prison. Selon la porte-parole du Service correctionnel du Canada, cette méthode d’introduction de drogue en prison est de plus en plus courante dans le monde entier.

Collaboration entre les autorités pénitentiaires et les forces de l’ordre

La police de la Colombie-Britannique enquête actuellement sur cette affaire et travaille en collaboration avec les autorités pénitentiaires pour renforcer la sécurité à la prison de Matsqui. Selon l’inspecteur Jeff Scott de la Gendarmerie royale du Canada, «nous prenons cette affaire très au sérieux et nous travaillons en étroite collaboration avec les autorités pénitentiaires pour identifier les responsables». Les autorités ont également appelé le public à signaler toute activité suspecte près de la prison.

L’utilisation de pigeons pour introduire de la drogue dans les prisons de la Colombie-Britannique est un défi pour les autorités pénitentiaires qui doivent être vigilantes et continuer de travailler ensemble pour renforcer la sécurité dans les prisons et prévenir l’introduction de substances illicites. Comme l’a souligné Liliana Vargas, «la collaboration entre les autorités pénitentiaires et les forces de l’ordre est essentielle pour lutter contre l’introduction de drogue en prison».

Lire la suite

Trending