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Israël : Chef de file contre le trafic d’êtres humains

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Israël remporte la note la plus élevée du département d’État américain pour la huitième année consécutive pour ses efforts contre le trafic d’êtres humains

Israël détient le record du monde dans la bataille contre le trafic d’être humain selon le rapport du département d’État américain. Les efforts significatifs du pays sont reconnu pour la 8e année consécutive.

Ne pas se reposer sur ses lauriers

Selon le Ministre de la Justice Amir Ohana ; “Nous allons continuer d’agir pour renforcer notre réponse face aux criminels afin d’éradiquer ce phénomène de trafic, et porter assistance aux victimes”. Le rapport sur le trafic d’être humains liste Israël dans le premier tiers. C’est-à-dire qu’il considère qu’Israël fait partie des leaders dans la lutte contre ce phénomène. Ce trafic concerne aussi bien le travail forcé, l’esclavage sexuel, ou la traite prostitutionnelle. On estime que ce phénomène concerne des millions d’enfants, de femmes, et d’hommes. Cette industrie mortifère rapporte plusieurs milliards chaque année. Le premier tiers de ce rapport inclue seulement 33 pays.

Le ministère de la Justice a déclaré que les forces de l’ordre israéliennes mènent une lutte agressive et intransigeante contre l’industrie locale de la traite des personne. Cette traite pourrait générer localement 1 milliard de dollars par an. Le département d’État dans son rapport note qu’Israel  applique une approche pour combattre le trafic humain qui se concentre sur trois axes : la prévention, la répression, et la protection des victimes. Il établit que pendant l’année 2018 ; 59 victimes de traite et d’esclavage ont été identifiés en Israël, 139 enquêtes criminelles ont été ouvertes et 22 arrestations ont eu lieu. Ce type de rapport est publié depuis 2001. Il divise en trois groupes les pays en fonction des efforts que chacun entreprend pour lutter contre cette entreprise criminelle.

Un revirement du pays qui se confirme

Pendant plus de 10 ans Israël avait été listé dans le dernier tiers. Ce tiers recense les pays dont les efforts dans la lutte contre le trafic d’êtres humains sont jugés insuffisants. Ceci les rendait vulnérables a des sanctions économiques de la part des États-Unis.  Cela a changé en 2012 et depuis Israël s’est toujours maintenu dans le premier tiers ; plusieurs pays d’Europe comme l’Allemagne, l’Italie et le Danemark ont perdu leur placement. Emi Palmor est ledirecteur général du ministère de la Justice. Il dirige un comité de directeurs généraux pour la lutte contre la traite des personnes. Il a déclaré que l’unité ministérielle qui dirige ces efforts ; « continue de se servir d’outils intégrés dans les diverses sphères de la lutte contre la traite des personnes. »

Le ministre de la Justice Amirault Anna ajoute ; “(je) recommande que cet engagement se poursuive et que la coopération de tous les gouvernements et de tous les ministères avec le ministère de la Justice israélien continue. Nous allons continuer de lutter contre les criminels via la répression afin d’éradiquer ce phénomène et de porter assistance aux victimes.”

 

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Armes états-uniennes chez les pays des Caraïbes

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pays des Caraïbes

Les pays des Caraïbes cherchent à réduire les taux de meurtre grâce à une coopération renforcée avec les États-Unis

Les pays des Caraïbes sont confrontés à une augmentation de la violence armée, qui est alimentée en grande partie par le trafic d’armes à feu en provenance des États-Unis. Ces gouvernements locaux ont donc décidé de renforcer leur coopération avec les autorités américaines pour lutter contre ce fléau et réduire les taux de meurtre dans la région.

Des mesures visant à renforcer la coopération régionale

Les gouvernements locaux ont pris des mesures pour renforcer leur coopération avec les États-Unis et d’autres pays voisins afin de lutter contre le trafic d’armes à feu. Ils ont également investi dans des initiatives pour surveiller les points d’entrée des armes à feu dans la région. Cette coopération renforcée est considérée comme essentielle pour réduire les taux de meurtre dans la région.

Les efforts des gouvernements locaux pour réduire la violence armée ont porté leurs fruits. Les taux de meurtre ont diminué dans certains pays de la région, grâce à une coopération renforcée avec les États-Unis et à des initiatives pour promouvoir la sécurité publique. Ces gouvernements locaux continuent de travailler pour réduire encore plus les taux de meurtre et améliorer la sécurité de la région.

Des progrès notables dans la lutte contre la violence armée

Les pays des Caraïbes ont pris des mesures pour lutter contre le trafic d’armes à feu en provenance des États-Unis et réduire les taux de meurtre dans la région. Les progrès notables réalisés montrent que la coopération régionale et les initiatives de sécurité publique peuvent faire une différence dans la lutte contre la violence armée.

Malgré ces progrès, le trafic d’armes à feu reste un défi majeur pour la région des Caraïbes. Les gangs continuent de se procurer des armes à feu illégalement, ce qui alimente la violence et les homicides dans la région. Les gouvernements locaux sont conscients que la lutte contre le trafic d’armes à feu est un processus continu et doivent continuer à travailler avec les autorités américaines et les organisations internationales pour empêcher la circulation illégale des armes à feu. En travaillant ensemble, les pays des Caraïbes peuvent espérer réduire encore plus le nombre de meurtres et améliorer la sécurité de la région.

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Canada : le danger des « Ghost Guns »

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Ghost Guns

La police de Winnipeg mène une enquête sur les « Ghost Guns » et a lancé des enauêtes pour retrouver les coupables

La police de Winnipeg mène actuellement une enquête sur les armes à feu fabriquées artisanalement, également connues sous le nom de « Ghost Guns » . Des poursuites ont déjà été lancé contre un suspect. Cette annonce intervient après une augmentation préoccupante de l’utilisation de ces armes illégales dans la ville.

Un pas important vers la résolution du problème

Les « Ghost Guns » sont des armes à feu qui sont fabriquées artisanalement en utilisant des pièces pouvant être achetées en ligne. Ces armes ne sont pas enregistrées et ne peuvent pas être tracées, ce qui les rend très attractives pour les criminels. Selon la police de Winnipeg, l’enquête a débuté en octobre dernier après la saisie d’un « Ghost Gun » dans le cadre d’une perquisition. Après une enquête approfondie, les enquêteurs ont déposé des accusations criminelles contre un homme de 26 ans pour possession d’une arme à feu non enregistrée et possession d’une arme à feu prohibée.

Le chef de la police de Winnipeg, Danny Smyth, a déclaré que cette enquête était un exemple de l’engagement de la police à lutter contre les armes à feu illégales dans la ville. « Nous savons que ces armes sont utilisées dans des crimes violents à Winnipeg, et nous sommes déterminés à les retirer de la rue », a-t-il déclaré.

Réduire l’utilisation des « Ghost Guns »

La police de Winnipeg a également travaillé en étroite collaboration avec d’autres forces de l’ordre à travers le pays pour lutter contre l’utilisation des « Ghost Guns ». En novembre dernier, la police de Toronto a mené une opération majeure contre les armes à feu illégales, au cours de laquelle plus de 80 « Ghost Guns » ont été saisis. Le gouvernement fédéral a également pris des mesures pour lutter contre l’utilisation de ces armes. En décembre dernier, le ministre de la Sécurité publique, Bill Blair, a annoncé un projet de loi visant à renforcer la réglementation des armes à feu et à interdire la vente de pièces détachées d’armes à feu.

L’enquête en cours de la police de Winnipeg sur les « Ghost Guns » montre l’engagement des forces de l’ordre à lutter contre l’utilisation de ces armes illégales dans la ville. En travaillant en étroite collaboration avec d’autres forces de l’ordre à travers le pays et en soutenant les efforts du gouvernement fédéral pour renforcer la réglementation des armes à feu, la police de Winnipeg espère réduire le nombre de crimes violents liés aux armes à feu dans la ville.

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Les procureurs du Manitoba et la lutte contre les armes

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lutte contre les armes

Les procureurs du Manitoba intensifient leur lutte contre les armes illégales en lien avec le crime organisé dans la province canadienne

Insécurité au Manitoba

Les procureurs du Manitoba ont récemment annoncé une initiative visant à intensifier leur lutte contre les armes à feu illégales en lien avec le crime organisé. Cette annonce intervient après une augmentation préoccupante des crimes liés aux armes à feu dans la province. Selon la Gendarmerie royale du Canada (GRC), le nombre d’infractions liées aux armes à feu au Manitoba a augmenté de 16 % en 2020, par rapport à l’année précédente. Environ 70 % de ces infractions étaient liées à des armes à feu illégales, souvent en lien avec le crime organisé.

Face à cette situation, les procureurs du Manitoba ont décidé de renforcer leur collaboration avec les forces de l’ordre pour enquêter sur les réseaux de trafic d’armes et poursuivre les criminels qui s’en servent. Ils ont également annoncé leur intention d’utiliser toutes les ressources juridiques à leur disposition pour punir les contrevenants. Le procureur en chef du Manitoba, Cliff Cullen, a déclaré que cette initiative était nécessaire pour protéger les communautés locales contre la violence armée. «Les armes à feu illégales ont un impact dévastateur sur la sécurité des Manitobains», a-t-il déclaré. «Nous avons l’obligation de poursuivre les criminels qui les utilisent et de les tenir responsables de leurs actes.

Lutte contre les armes

Cette initiative fait partie d’un effort plus large du gouvernement du Manitoba pour lutter contre la violence armée. En novembre dernier, le gouvernement a annoncé un investissement de 10 millions de dollars pour améliorer la sécurité publique et aider les communautés à prévenir la violence.

Le ministre de la Justice, Cameron Friesen, a déclaré que cet investissement aiderait à renforcer les capacités des forces de l’ordre pour lutter contre la violence armée et soutenir les initiatives communautaires de prévention. “Nous ne tolérons pas la violence armée dans notre province”, a-t-il déclaré. “Nous prenons des mesures concrètes pour protéger nos communautés et nous continuerons de travailler avec nos partenaires pour trouver des solutions durables à ce problème.”

En conclusion, cette initiative des procureurs du Manitoba montre l’engagement des autorités locales à lutter contre la violence armée dans la province. En renforçant leur collaboration avec les forces de l’ordre et en utilisant toutes les ressources juridiques à leur disposition, les procureurs espèrent réduire le nombre de crimes liés aux armes à feu et protéger les communautés locales contre cette menace croissante.

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