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Un yacht de luxe et deux tonnes de cocaïne

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yacht de luxe

Un homme arrêté à bord d’un yacht de luxe avec deux tonnes de cocaïne a été condamné à 18 ans de prison

Andrew Cole est le citoyen britannique ayant tenté de traverser l’océan Atlantique avec une énorme cargaison de cocaïne. L’achat d’un yacht de luxe pour le transport de la drogue ne leur a cependant pas porté chance. L’homme a déclaré avoir tenté l’aventure pour que son «boss» soit fier de lui. L’aventure aurait commencé l’année dernière à Barbados. Ils ont ensuite chargé la cargaison depuis un autre navire au Suriname avant de se lancer dans la traversée de l’Atlantique. L’objectif aurait été d’atteindre l’île de Wight.

Deux tonnes de cocaïne stoppées en haute mer

On estime aujourd’hui que la valeur des deux tonnes de cocaïne dépasse les 188 millions d’euros. Cette traversée rocambolesque s’est faite à bord du yacht de luxe «Kahu». Ce navire de 37 mètres de long avait été acheté pour cet objectif précis. Le bateau a quitté Barbados en juillet pour retrouver un autre navire au large du Suriname. La drogue a alors été dissimulée à son bord et le Kahu s’est lancé dans la traversée de l’Atlantique. À son arrivée sur la route maritime au large de l’île de Wight l’objectif était de laisser les 200 paquets flotter dans des filets soutenus par plus de 100 gilets de sauvetage.

Une deuxième équipe devait alors partir de Southampton à bord d’un autre bateau pour récupérer Cole et la drogue. Le signal était «Le Willy est libre». Malheureusement pour eux, le yacht de luxe a été contrôlé en haute mer, dans les eaux internationales. Les bateaux rapides des douanes ont stoppé le navire le 9 septembre 2021. Le Kahu a alors été escorté jusqu’à Turnchapel Marina à Plymouth et la drogue a été déchargée par la police. Avant son arrestation Cole a tenté de détruire le téléphone satellite utilisé au cours de la traversée. Malheureusement pour lui les experts de la police ont réussi à réparer l’appareil.

La fin du yacht de luxe et de son équipage

À l’intérieur du téléphone on a retrouvé des photos de Cole plaisantant avec l’équipage et des messages à son «boss»; un certain Julio. Il rapporte dans ses messages avoir compté et vérifié la cargaison. Il exprime aussi son envie de rendre son chef fier de lui. Cole a même filmé les équipes des douanes arrivant vers eux. Il n’a cependant pas suivi les instructions de son chef lui ordonnant de jeter tous les téléphones à la mer. La cocaïne était emballée dans 2000 sachets imperméables. On estime que son taux de pureté était entre 60 % et 86 %.

La condamnation de Cole à 18 ans de prison n’a pas tardé à suivre. Son avocat a bien tenté de souligner qu’il n’était clairement pas le cerveau ni le responsable de l’organisation, mais sans effet. De leur côté les anciens propriétaires du yacht de luxe rapportent amusés que leurs connaissances leur ont envoyé de multiples messages inquiets. Le Kahu n’était pourtant plus en leur possession depuis 2013 et cette famille de Vancouver n’a rien à voir avec la découverte. Selon eux le choix du bateau pour cette aventure n’était pas insensé. Le Kahu est un navire fiable et pratique qui passe sous les radars, ce n’est pas un super yacht, il reste relativement discret.

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Bongbong Marcos contre la contrebande de produits agricoles

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Bonbong Marcos

Bongbong Marcos envisage des inspections préalables à l’expédition pour lutter contre la contrebande de produits agricoles

Bongbong Marcos, le président philippin, propose une solution pour lutter contre la contrebande de produits agricoles dans le pays. Il suggère la mise en place d’inspections préalables à l’expédition, afin de renforcer les contrôles et de prévenir efficacement le trafic illégal.

Une proposition d’apparence simpliste

Selon Marcos, le commerce illicite de produits agricoles est un problème majeur aux Philippines, entraînant des pertes économiques considérables pour les agriculteurs locaux et un préjudice pour l’industrie agricole du pays. Les produits agricoles, tels que le riz, le sucre et d’autres denrées alimentaires de base, sont souvent vendus à des prix inférieurs sur le marché noir, ce qui crée une concurrence déloyale pour les agriculteurs légitimes.

L’idée de BongbongMarcos est d’effectuer des inspections rigoureuses avant l’expédition des produits agricoles, à la fois au niveau des ports et des points de vente. Ces inspections permettraient de vérifier l’origine des produits, de détecter d’éventuelles falsifications de documents et de s’assurer de la conformité aux réglementations en vigueur. L’objectif principal de cette proposition est de dissuader les trafiquants en rendant la contrebande plus difficile et risquée. En introduisant des contrôles plus stricts, Marcos espère réduire le volume de produits illégalement importés et protéger les intérêts des agriculteurs locaux.

Le plan compliqué de Bongbong Marcos

Cependant, certains experts soulèvent des préoccupations quant à la faisabilité et à la mise en œuvre de ces inspections préalables à l’expédition. Ils soulignent que cela pourrait entraîner des retards dans les opérations commerciales légitimes et augmenter les coûts pour les entreprises. Il faudrait également mettre en place des ressources adéquates, telles que des agents de contrôle supplémentaires et des équipements de détection sophistiqués, pour mener à bien ces inspections.

La contrebande de produits agricoles est un problème complexe qui nécessite une approche holistique. Outre les inspections préalables à l’expédition, il est important de renforcer les mesures de lutte contre la corruption, d’améliorer la coopération entre les organismes d’application de la loi et de sensibiliser le public aux conséquences néfastes de la contrebande sur l’économie et les moyens de subsistance des agriculteurs. Il reste à voir si la proposition de Marcos sera mise en œuvre et si elle contribuera efficacement à réduire la contrebande aux Philippines.

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Un camionneur et des valises de cocaïne

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Un camionneur est accusé d’avoir transporté des valises de cocaïne d’une valeur de 3,5 millions de dollars

Le camionneur accusé d’avoir transporté la drogue, a nié avoir vu ou récupéré des valises de cocaïne lors de son témoignage devant le tribunal. Selon les procureurs, ce dernier aurait joué un rôle clé dans l’acheminement de 62 kilogrammes de cocaïne à travers la frontière. Les valises contenant la drogue auraient été dissimulées dans le compartiment de chargement de son camion. Cependant, le camionneur affirme qu’il n’était pas au courant de la présence de la cocaïne et qu’il n’a jamais manipulé les valises incriminées.

Un suspect niant les faits

Lors de son témoignage devant le tribunal, le camionneur a maintenu sa position selon laquelle il n’avait aucune connaissance de la contrebande de drogue. Il a affirmé qu’il avait simplement effectué son travail en tant que chauffeur de camion et qu’il ignorait tout des activités illégales qui se déroulaient derrière lui. Il a également déclaré qu’il n’avait jamais remarqué de comportement suspect ni de signes indiquant la présence de valises de cocaïne dans son véhicule.

Malgré les dénégations du conducteur, l’accusation a présenté des preuves tangibles pour étayer son accusation. Des enregistrements vidéo provenant de caméras de surveillance ont été présentés au tribunal. On peut y voir des individus non identifiés manipulant les valises à l’arrière du camion. Les procureurs ont également utilisé des écoutes téléphoniques et des documents financiers qui, selon eux, démontraient la complicité du camionneur dans le trafic de drogue.

Des valises de cocaïne tombées du camion?

La défense due l’accusé s’appuie sur le fait que les preuves présentées par l’accusation ne sont pas concluantes et qu’il existe une possibilité que les valises aient été placées dans son camion à son insu. L’avocat de la défense a remis en question l’authenticité des enregistrements vidéo, affirmant qu’ils pourraient avoir été manipulés ou falsifiés. De plus, la défense a souligné que les écoutes téléphoniques ne prouvaient pas directement la participation du camionneur au trafic de drogue.

Le procès du camionneur accusé de trafic de drogue d’une valeur de 3,5 millions de dollars est un cas complexe qui repose sur des preuves circonstancielles. Singh, le principal accusé, continu à clamer son innocence et a plaidé non-coupable.

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La lutte contre la criminalité transfrontalière

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La lutte contre la criminalité transfrontalière entre le Canada et les États-Unis est en train de devenir un véritable enjeu de sécurité nationale

Le Canada et les États-Unis partagent une frontière terrestre de plus de 8 891 kilomètres, la plus longue frontière non défendue au monde. Cette frontière est traversée quotidiennement par des millions de personnes, des biens et des services. Toutefois, les deux pays sont confrontés à des défis communs en matière de criminalité transfrontalière, tels que la traite des êtres humains, le trafic de drogue et la contrebande d’armes à feu.

Partage des données de la criminalité transfrontalière

Le Canada et les États-Unis ont signé un accord pour partager les données relatives à la criminalité transfrontalière. Cet accord, appelé la Déclaration commune sur le crime transfrontalier, permet aux deux pays de collaborer pour combattre la criminalité organisée.

Selon l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC), plus de 1 200 armes à feu ont été saisies à la frontière canado-américaine en 2020. De plus, plus de 95 000 personnes ont été refoulées à la frontière canadienne en 2019 pour des raisons de sécurité, notamment en raison de la menace qu’elles représentaient pour le Canada. Le partage de données est essentiel pour lutter contre la criminalité transfrontalière, car cela permet aux autorités des deux pays de mieux comprendre les tendances et identifier les réseaux criminels.

Coopération pour la sécurité frontalière

En plus de partager les données sur la criminalité transfrontalière, le Canada et les États-Unis travaillent ensemble pour renforcer la sécurité à la frontière. Les deux pays ont mis en place des programmes pour améliorer la sécurité des voyageurs et des marchandises. Par exemple, le Programme des voyageurs fréquents (NEXUS) permet aux voyageurs préapprouvés de passer rapidement et facilement les contrôles frontaliers. De même, le Programme d’autorisation de voyage électronique (AVE) facilite les voyages des visiteurs étrangers au Canada en réduisant les temps d’attente aux contrôles frontaliers.

Le Canada et les États-Unis travaillent également ensemble pour protéger les infrastructures critiques à la frontière, tels que les ponts et les tunnels. Les deux pays ont signé un accord pour coopérer sur la sécurité des infrastructures transfrontalières, ce qui permet de prévenir les menaces à la sécurité. La collaboration entre les deux pays est essentielle pour lutter contre ce fléau, et le partage de données sur la criminalité transfrontalière est un élément clé de cette collaboration.

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