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Miguel Ángel López soupçonné de trafic de drogue

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Miguel Ángel López

Le coureur cycliste de l’Équipe Astana-Qazaqstan, Miguel Ángel López, a été arrêtée par la police l’aéroport de Madrid

Le coureur cycliste pourrait se retrouver dans une situation délicate. La police espagnole enquête actuellement sur ses liens avec le docteur controversé; Marcos Maynar Mariño. Ce professeur de l’université d’Extremadura est sous le coup d’une enquête pour trafic de drogue et blanchiment d’argent. Miguel Ángel López a été intercepté par la police à son arrivée à l’aéroport de Madrid-Barajas. Des agents de l’Unité opérationnelle centrale l’attendaient. Ces derniers font partie du Service de police judiciaire de la Garde civile.

Miguel Ángel López et la mort de Neves

Miguel Ángel López aurait déjà été soupçonné d’avoir été impliqué dans «l’affaire Maynar». Il est cependant maintenant passé du statut de témoin à celui d’accusé. On le soupçonne d’avoir participé à la distribution de médicaments interdits en Espagne, notamment à une personne sous le coup d’une enquête. Selon le déroulement de l’enquête, le coureur cycliste pourrait se retrouver sous le coup d’accusations criminelles. L’homme est un des coureurs vedettes de l’équipe Astana-Qazaqstan. Il a participé aux victoires du Tour de Suisse et de la Volta de Catalogne entre autres exploits personnels. Il est aussi arrivé 6e au Tour de France 2020.

Le coureur était aussi très en vue cette année au Tour des Alpes, mais n’a pas participé aux évènements de l’année à cause d’une blessure. Il était cependant censé participer à la course Prueba Villafranca-Clásica de Ordizia ce lundi. Il doit aussi bientôt comparaître pour son rôle dans «l’affaire Maynar». Le docteur Maynar a été arrêté le 11 mai dernier, un jour après le retrait de Miguel Ángel López du Giro d’Italia. L’homme a un passé d’administration de substances interdites. Lors d’une enquête sur l’achat de stéroïdes en ligne la police en avait découvert à sa résidence. Il a aussi été sous le coup d’une enquête suite à la mort de Bruno Neves en 2008.

Un étrange médecin

La mort de Neves dans un crash aurait été provoquée par une crise cardiaque. Des substances de dopage avaient été retrouvées. Neves menait la course Clássica de Amarante au moment de son décès. La police portugaise avait des découvertes de drogues sur le lieu d’organisation de l’équipe, chez son directeur et chez les 10 autres coureurs du groupe. La police a annoncé avoir saisi des substances dopantes, des médicaments, et de l’équipement destiné à effectuer des transfusions sanguines. Des hormones de croissance, de l’EPO et des pochettes de sang étaient aussi présentes. Maynar était le médecin de l’équipe, mais a nié toute connaissance de ce dopage.

Le médecin n’avait pas été poursuivi par la police à cette époque. Cependant en octobre 2009 la fédération cycliste portugaise lui a signifié 10 ans d’interdiction de pratiquer pour ce dopage. En 2021 Maynar a malgré tout ouvert des consultations en ligne en lien avec la santé, les performances sportives et les suppléments alimentaires. Il met en avant son rôle de médecin pour le comité olympique espagnol ainsi que diverses autres institutions prestigieuses. On ignore encore en détail quelle relation Miguel Ángel López entretient avec ce personnage sulfureux.

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Bongbong Marcos contre la contrebande de produits agricoles

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Bonbong Marcos

Bongbong Marcos envisage des inspections préalables à l’expédition pour lutter contre la contrebande de produits agricoles

Bongbong Marcos, le président philippin, propose une solution pour lutter contre la contrebande de produits agricoles dans le pays. Il suggère la mise en place d’inspections préalables à l’expédition, afin de renforcer les contrôles et de prévenir efficacement le trafic illégal.

Une proposition d’apparence simpliste

Selon Marcos, le commerce illicite de produits agricoles est un problème majeur aux Philippines, entraînant des pertes économiques considérables pour les agriculteurs locaux et un préjudice pour l’industrie agricole du pays. Les produits agricoles, tels que le riz, le sucre et d’autres denrées alimentaires de base, sont souvent vendus à des prix inférieurs sur le marché noir, ce qui crée une concurrence déloyale pour les agriculteurs légitimes.

L’idée de BongbongMarcos est d’effectuer des inspections rigoureuses avant l’expédition des produits agricoles, à la fois au niveau des ports et des points de vente. Ces inspections permettraient de vérifier l’origine des produits, de détecter d’éventuelles falsifications de documents et de s’assurer de la conformité aux réglementations en vigueur. L’objectif principal de cette proposition est de dissuader les trafiquants en rendant la contrebande plus difficile et risquée. En introduisant des contrôles plus stricts, Marcos espère réduire le volume de produits illégalement importés et protéger les intérêts des agriculteurs locaux.

Le plan compliqué de Bongbong Marcos

Cependant, certains experts soulèvent des préoccupations quant à la faisabilité et à la mise en œuvre de ces inspections préalables à l’expédition. Ils soulignent que cela pourrait entraîner des retards dans les opérations commerciales légitimes et augmenter les coûts pour les entreprises. Il faudrait également mettre en place des ressources adéquates, telles que des agents de contrôle supplémentaires et des équipements de détection sophistiqués, pour mener à bien ces inspections.

La contrebande de produits agricoles est un problème complexe qui nécessite une approche holistique. Outre les inspections préalables à l’expédition, il est important de renforcer les mesures de lutte contre la corruption, d’améliorer la coopération entre les organismes d’application de la loi et de sensibiliser le public aux conséquences néfastes de la contrebande sur l’économie et les moyens de subsistance des agriculteurs. Il reste à voir si la proposition de Marcos sera mise en œuvre et si elle contribuera efficacement à réduire la contrebande aux Philippines.

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Un camionneur et des valises de cocaïne

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valises de cocaïne

Un camionneur est accusé d’avoir transporté des valises de cocaïne d’une valeur de 3,5 millions de dollars

Le camionneur accusé d’avoir transporté la drogue, a nié avoir vu ou récupéré des valises de cocaïne lors de son témoignage devant le tribunal. Selon les procureurs, ce dernier aurait joué un rôle clé dans l’acheminement de 62 kilogrammes de cocaïne à travers la frontière. Les valises contenant la drogue auraient été dissimulées dans le compartiment de chargement de son camion. Cependant, le camionneur affirme qu’il n’était pas au courant de la présence de la cocaïne et qu’il n’a jamais manipulé les valises incriminées.

Un suspect niant les faits

Lors de son témoignage devant le tribunal, le camionneur a maintenu sa position selon laquelle il n’avait aucune connaissance de la contrebande de drogue. Il a affirmé qu’il avait simplement effectué son travail en tant que chauffeur de camion et qu’il ignorait tout des activités illégales qui se déroulaient derrière lui. Il a également déclaré qu’il n’avait jamais remarqué de comportement suspect ni de signes indiquant la présence de valises de cocaïne dans son véhicule.

Malgré les dénégations du conducteur, l’accusation a présenté des preuves tangibles pour étayer son accusation. Des enregistrements vidéo provenant de caméras de surveillance ont été présentés au tribunal. On peut y voir des individus non identifiés manipulant les valises à l’arrière du camion. Les procureurs ont également utilisé des écoutes téléphoniques et des documents financiers qui, selon eux, démontraient la complicité du camionneur dans le trafic de drogue.

Des valises de cocaïne tombées du camion?

La défense due l’accusé s’appuie sur le fait que les preuves présentées par l’accusation ne sont pas concluantes et qu’il existe une possibilité que les valises aient été placées dans son camion à son insu. L’avocat de la défense a remis en question l’authenticité des enregistrements vidéo, affirmant qu’ils pourraient avoir été manipulés ou falsifiés. De plus, la défense a souligné que les écoutes téléphoniques ne prouvaient pas directement la participation du camionneur au trafic de drogue.

Le procès du camionneur accusé de trafic de drogue d’une valeur de 3,5 millions de dollars est un cas complexe qui repose sur des preuves circonstancielles. Singh, le principal accusé, continu à clamer son innocence et a plaidé non-coupable.

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La lutte contre la criminalité transfrontalière

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criminalité transfrontalière

La lutte contre la criminalité transfrontalière entre le Canada et les États-Unis est en train de devenir un véritable enjeu de sécurité nationale

Le Canada et les États-Unis partagent une frontière terrestre de plus de 8 891 kilomètres, la plus longue frontière non défendue au monde. Cette frontière est traversée quotidiennement par des millions de personnes, des biens et des services. Toutefois, les deux pays sont confrontés à des défis communs en matière de criminalité transfrontalière, tels que la traite des êtres humains, le trafic de drogue et la contrebande d’armes à feu.

Partage des données de la criminalité transfrontalière

Le Canada et les États-Unis ont signé un accord pour partager les données relatives à la criminalité transfrontalière. Cet accord, appelé la Déclaration commune sur le crime transfrontalier, permet aux deux pays de collaborer pour combattre la criminalité organisée.

Selon l’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC), plus de 1 200 armes à feu ont été saisies à la frontière canado-américaine en 2020. De plus, plus de 95 000 personnes ont été refoulées à la frontière canadienne en 2019 pour des raisons de sécurité, notamment en raison de la menace qu’elles représentaient pour le Canada. Le partage de données est essentiel pour lutter contre la criminalité transfrontalière, car cela permet aux autorités des deux pays de mieux comprendre les tendances et identifier les réseaux criminels.

Coopération pour la sécurité frontalière

En plus de partager les données sur la criminalité transfrontalière, le Canada et les États-Unis travaillent ensemble pour renforcer la sécurité à la frontière. Les deux pays ont mis en place des programmes pour améliorer la sécurité des voyageurs et des marchandises. Par exemple, le Programme des voyageurs fréquents (NEXUS) permet aux voyageurs préapprouvés de passer rapidement et facilement les contrôles frontaliers. De même, le Programme d’autorisation de voyage électronique (AVE) facilite les voyages des visiteurs étrangers au Canada en réduisant les temps d’attente aux contrôles frontaliers.

Le Canada et les États-Unis travaillent également ensemble pour protéger les infrastructures critiques à la frontière, tels que les ponts et les tunnels. Les deux pays ont signé un accord pour coopérer sur la sécurité des infrastructures transfrontalières, ce qui permet de prévenir les menaces à la sécurité. La collaboration entre les deux pays est essentielle pour lutter contre ce fléau, et le partage de données sur la criminalité transfrontalière est un élément clé de cette collaboration.

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